PUBLICATIONS...
finaliste au concours "Le plus grand concours photo du monde" du magazine PHOTO
(thème: Les Animaux)
(2023)
(2023)
finaliste au concours "Le plus grand concours photo du monde" du magazine PHOTO (thème: Le Sport)
(2023)
finaliste au concours "Le plus grand concours photo du monde" du magazine PHOTO (thème: Le Portrait)
(2023)
exposition photographique "RITUEL"
au restaurant L'Arbre à Palabres à L'Entre-Deux, La Réunion
au restaurant L'Arbre à Palabres à L'Entre-Deux, La Réunion
(15 janvier - 31 mars 2022)
photos d'atelier illustrant le catalogue "De l'alchimie avant toute chose" consacré au peintre Frédéric Faye
(été 2019)
finaliste au concours "Le plus grand concours photo du monde" du magazine PHOTO (thème: Sports)
(2012)
1er prix au concours "Nautic Photo" du site du SALON NAUTIQUE de Paris
(juillet 2015)
lauréate au concours du site AU TIGRE VANILLÉ en partenariat avec le Salon du Livre et de la Presse de Genève, Suisse (thème: L'eau dans tous ses états)
lauréate au concours du site AU TIGRE VANILLÉ en partenariat avec le Salon du Livre et de la Presse de Genève, Suisse (thème: L'eau dans tous ses états)
(avril 2016)
photos illustrant l'article de presse du journal OUEST FRANCE consacré au peintre Frédéric Faye
(2011)
3e prix au concours organisé par la ville de Saint-Leu, La Réunion (thème: Semaine du développement durable)
(avril 2010)
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Trophées des Arpenteurs de rue sur le site Ipernity (mai 2009)
"La valse des vieux os" par le Passant qui passe
Cette photo est un choc. Elle continue de me donner la chair de poule, exactement comme la première fois que je l'ai vue. Le regard désespéré cerné de noir, fuyant vers un horizon inaccessible où il y aurait un peu d'humanité, perdu dans un autre monde, recroquevillé sur lui-même en position foetale, comme pour retrouver le souvenir de sensations chaleureuses et toute la dérision de sa situation, sa vie suspendue aux quelques notes produites par les minuscules lamelles métalliques de son harmonica, sa vie accrochée à la seule chose qu'il puisse encore donner: un souffle d'air. Un témoignage fort et bouleversant, une photo qui s'adresse directement à notre conscience.
"La valse des vieux os" par le Passant qui passe
Cette photo est un choc. Elle continue de me donner la chair de poule, exactement comme la première fois que je l'ai vue. Le regard désespéré cerné de noir, fuyant vers un horizon inaccessible où il y aurait un peu d'humanité, perdu dans un autre monde, recroquevillé sur lui-même en position foetale, comme pour retrouver le souvenir de sensations chaleureuses et toute la dérision de sa situation, sa vie suspendue aux quelques notes produites par les minuscules lamelles métalliques de son harmonica, sa vie accrochée à la seule chose qu'il puisse encore donner: un souffle d'air. Un témoignage fort et bouleversant, une photo qui s'adresse directement à notre conscience.
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Trophée des Arpenteurs de rue sur le site Ipernity (juin 2009)
"Pour l'artiste" par le Passant qui passe
Sabine et son regard qui va toujours au-delà des choses, tout est parfait sur cette photo: la petite main, les doigts appliqués, les piécettes qui tombent, suspendues dans le temps qui suspend son vol, le regard de l'enfant sérieux et attendrissant et le pavillon brillant du trombone qui semble surgir pour le remercier. Un instant de grâce. Tout ce qui doit être bien défini est super net, tout ce qui supporte la scène est bien dans l'arrière-plan: une lisibilité exemplaire.
"Pour l'artiste" par le Passant qui passe
Sabine et son regard qui va toujours au-delà des choses, tout est parfait sur cette photo: la petite main, les doigts appliqués, les piécettes qui tombent, suspendues dans le temps qui suspend son vol, le regard de l'enfant sérieux et attendrissant et le pavillon brillant du trombone qui semble surgir pour le remercier. Un instant de grâce. Tout ce qui doit être bien défini est super net, tout ce qui supporte la scène est bien dans l'arrière-plan: une lisibilité exemplaire.
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Trophée des Arpenteurs de rue sur le site Ipernity (juin 2009)
"Bohemian rhapsody" par le Passant qui passe
À nouveau Sabine et son accordéoniste bohémien, l'oreille tendue vers son instrument, le regard perdu dans un monde de musique et une lumière divine pour capter les notes qui s'échappent. Et toujours l'instant de grâce, le moment où l'instrument est complètement déployé, arborant des courbes très sensuelles, quand les notes du tirer meurent et que naissent celles du pousser. Un esthétisme émouvant.
"Bohemian rhapsody" par le Passant qui passe
À nouveau Sabine et son accordéoniste bohémien, l'oreille tendue vers son instrument, le regard perdu dans un monde de musique et une lumière divine pour capter les notes qui s'échappent. Et toujours l'instant de grâce, le moment où l'instrument est complètement déployé, arborant des courbes très sensuelles, quand les notes du tirer meurent et que naissent celles du pousser. Un esthétisme émouvant.
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Coup de coeur des Arpenteurs de rue sur le site Ipernity (septembre 2009)
"Dancer in the dark" par le Passant qui passe
Pour cette photo de Sabine, sublime silhouette parfaitement découpée, comme par un artiste de Montmartre qui fait votre profil en trois coups de ciseaux. J'aurais hésité à poster cette photo qui tire toute sa beauté des contours d'un enfant africain... de peur que ce ne soit interprété comme un manque de respect, une exploitation de la différence. Tout comme j'aurais hésité à montrer le regard d'une enfant trisomique ou la jambe artificielle d'un athlète paralympique... J'admire aussi cette photo pour ça, pour le message que tu nous envoies Sabine, et qui nous dit: "Tss tss ! Tout est beaucoup plus simple: il n'y a pas de différence. C'est la même beauté que celle du profil d'un joli mannequin, c'est la même intensité que le regard sur son enfant, et c'est la même force de caractère que celle qui anime les jambes d'un coureur valide..."
"Dancer in the dark" par le Passant qui passe
Pour cette photo de Sabine, sublime silhouette parfaitement découpée, comme par un artiste de Montmartre qui fait votre profil en trois coups de ciseaux. J'aurais hésité à poster cette photo qui tire toute sa beauté des contours d'un enfant africain... de peur que ce ne soit interprété comme un manque de respect, une exploitation de la différence. Tout comme j'aurais hésité à montrer le regard d'une enfant trisomique ou la jambe artificielle d'un athlète paralympique... J'admire aussi cette photo pour ça, pour le message que tu nous envoies Sabine, et qui nous dit: "Tss tss ! Tout est beaucoup plus simple: il n'y a pas de différence. C'est la même beauté que celle du profil d'un joli mannequin, c'est la même intensité que le regard sur son enfant, et c'est la même force de caractère que celle qui anime les jambes d'un coureur valide..."